27 septembre 2020 • 03 janvier 2021
Relais de cette exposition en rdv virtuel
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Co-commissariat :
Pascal Pique, Le Musée de l'Invisible
et Fabienne Grasser-Fulchéri, directrice de l'eac.
Galerie du Château
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partenariats média
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Artistes : Art Orienté Objet, Bernard Aubertin, Basserode, Charley Case, Dadamaino, Philippe Deloison, Philippe Durand, Vidya Gastaldon, André Hemelrijk, Yves Klein, Julije Knifer, Arthur Lambert, Jean-Luc Leguay, Sol LeWitt, Sandra Lorenzi, Ingeborg Lüscher, John McCracken, Myriam Mechita, Mario Merz, Anika Mi, Matt Mullican, Aurelie Nemours, Jean Perdrizet, Isabelle Perú, Irina Quinterne, Olivier Raud, Vera Röhm, Reiner Ruthenbeck, Vladimir Skoda, Teruhisa Suzuki, Günther Uecker, Sandra Valabrègue, Victor Vasarely
Avec la participation du compositeur Michel Redolfi
Et l’évocation de Michel Ange, Jérôme Bosch, Léonard de Vinci, Albrecht Dürer, Hubert et Jan Van Eyck, Paul Klee, Hilma af Klint, Emma Kunz, Le Corbusier, Kasimir Malevitch, Piet Mondrian, Francis Picabia, Rembrandt…
La géométrie et l’abstraction sont souvent liées aux cultures de l’Invisible depuis l’apparition des premiers tracés géométriques dans les grottes ornées de la préhistoire, jusqu’aux œuvres les plus contemporaines qui se ressourcent dans des formes d’épure abstraite. À quoi tient ce phénomène ?
Quelles réalités et quels enjeux recouvre-t-il ?
L’exposition Géométries de l’Invisible révèle et explore ce continuum transhistorique. Apparaît alors sous nos yeux un tout autre paysage où l’art redéploie toutes ses énergies.
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L’exposition Géométries de l’invisible dévoile ainsi une vision inédite du processus créatif en entrant au cœur du réacteur de l’art à travers les dimensions énergétiques de la géométrie.
Dès lors, un tout autre paysage de l’art et de son histoire se révèle. Un paysage où la création artistique et la géométrie apparaissent sous un jour autrement plus dynamique et vivant.
Un paysage où les œuvres permettent de développer des dimensions cognitives particulières, pour voir que in fine, géométriser, c’est reformuler en permanence nos configurations cosmologiques pour se réinscrire dans l’univers, à la jonction des mondes terrestre et cosmiques. Cette exposition ayant elle-même une dimension ascensionnelle et initiatique. Géométriser c’est prendre la mesure du monde.
L’exposition Géométries de l’Invisible participe d’un projet de recherche en Sciences de l’art / Esthétique à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne dans le cadre d’un doctorat de troisième cycle associé aux activités du Musée de l’Invisible et au laboratoire Art Mondialité Environnement.
Elle est dédiée à Odile Biec-Morello (1960 — 2015) qui a dirigé l’Espace d’Art Concret de 1992 à 2001.